Une cause supplémentaire des allergies :
l’exposition aux ondes électromagnétiques artificielles
En pleine expansion, les allergies sont devenues en 2020 un véritable problème de santé publique. Si près de 30 % de la population en souffre aujourd’hui, c’est 50% qui se profile dans un horizon proche.
De nombreuses causes expliquent cette augmentation, la pollution, l’hygiène excessive, la surconsommation d’antibiotiques, des nouvelles habitudes alimentaires, certains accusent même les vaccins, sans parler du boom des fausses allergies. Mais, la nouvelle piste a étudier est la pollution par les ondes électromagnétiques qui se potentialise avec la pollution chimique.
En effet, ces ondes électromagnétiques artificielles qui traversent les murs, pénètrent également dans nos cellules. Elles deviennent ainsi des corps étrangers semblables aux allergènes.
Alors le système immunitaire, spécialisé dans la reconnaissance des corps étrangers, produit des anticorps, les immunoglobulines de type E (IgE) chargées de reconnaître l’intrus puis de le détruire. Les cellules touchées vont alors secréter des médiateurs chimiques, histamine, tryptase, leucotriènes, prostaglandines qui sont responsables des symptômes des allergies.
Les ondes électromagnétiques artificielles étant devenues quasiment omniprésentes, le système immunitaire est donc sollicité en permanence. Et quand arrive la période des allergènes, le corps ne peut plus alors se défendre, d’où l’augmentation exponentielle des allergies en parallèle avec l’augmentation des ondes électromagnétiques artificielles.
NB : aussi pour réduire toute forme d’allergies, il devient nécessaire de réduire de manière très significative ces ondes électromagnétiques artificielles (Wifi, téléphones portables et sans fil, bluetooth, antennes relais…).
L’homéopathie face aux allergies
Depuis le début de ma pratique homéopathique au Québec en 1990, j’avais d’excellents résultats sur la plupart des allergies en commençant avec TUBERCULINUM, pour les allergies ORL et PSORINUM pour les allergies cutanée et digestive même mais si bien évidement ce choix n’était pas systématique, chacun de ces deux remèdes étant suivis de remèdes de constitution.
Depuis ces dernières années mes résultats thérapeutiques à propos des allergies en général ont diminué sans en comprendre la cause.
La réponse fut évidente quand j’ai découvert la puissance des méfaits de la pollution électromagnétique artificielle.
Aussi aujourd’hui, avec le trio, réduction des ondes, homéopathie et compléments alimentaires, j’ai à nouveau de bonnes améliorations dans la plupart des différents cas d’allergies.
Les allergies pulmonaires, asthme et bronchiolite
Les causes sont multiples et elles existaient avant l’arrivée des ondes artificielles. Cependant, elles sont plus nombreuses depuis l’expansion de « l’electrosmog * ».
« J’ai eu en clientèle un couple de quinquagénaire. Je réussis à rééquilibrer assez facilement l’ensemble des symptômes qui étaient à améliorer sauf pour les deux, une toux qui ne répondait à aucun remède. Nous recherchons bien sûr une raison physique, insuffisance ou excès d’humidité, moisissures, allergènes de toute sorte, mais rien ! ».
Ce n’est que quelques années plus tard, au hasard de recherches sur l’EHS* que j’ai découvert les recherches du Pr Belpomme sur les méfaits des ondes :
« abaissement des défenses antioxydantes en particulier manifestées par l’augmentation du taux de la nitrotyrosamine dans le sang ».
Et au hasard d’une autre lecture « la nitrotyrosamine crée des inflammations bronchiques ».
Depuis, dans tous les cas de symptômes pulmonaires, je vérifie s’il existe une pollution éventuelle par les ondes afin d’alerter le client sur les méfaits des ondes. Et si nécessaire, je propose un remède homéopathique qui possède NITRIC dans sa composition, Amylenum Nitrosum, Argentum Nitricum, Kali Nitricum, Nitricum Acidum.
Or, 3 de ces 4 remèdes possèdent des symptômes pulmonaires importants.
Electrosmog : brouillard électromagnétique
EHS : ElectroHyperSensibilité.
(extrait de mon livre ONDES ELECTROMAGNETIQUES, p 141)
Bernard Biardeau, janvier 2020